Une photo qui réchauffe. Les mains de ma mère. |
Les internets fourmillent d'idées pour s'occuper, que cela soit au tricot ou aux fourneaux que cela soit utile ou pas. J'étais en train de fourrager dans mes boîtes à chaussures en quête d'une photo à partager pour le défi d'octobre lancé par YannCPhoto sur Twitter. Un cliché menant à un autre, un souvenir de mes parents, de moi enfant ou adolescent. À mes pieds une foultitude de moments couchés sur le papier glacé.
Mon mec me taquine : – tu ne t'ennuies jamais 😋
Minute "autrefois" :
À l'époque (années 80, me concernant), photographes professionnels ou du dimanche saisissaient l'instant sur la pellicule, au propre comme au figuré. Développaient ou faisaient développer ladite pellicule en chambre noire ou par des machines. On ne vérifiait pas sur le moment et dans l'appareil ce qui venait d'être capturé. On ne supprimait pas les clichés ratés. Ils étaient eux aussi dans la boîte. Envolés les souvenirs de vacances parce que j'avais mal inséré la pellicule ou malencontreusement ouvert l'arrière de l'appareil. Il se passait parfois plusieurs semaines avant que je découvre le résultat du pique-nique en famille en format 10x15, car il s'agissait d'abord de terminer la pellicule, de la confier ensuite à la boutique et d'attendre. Je me souviens des négatifs qui accompagnaient le développement et à partir desquels je commandais des duplicatas pour les amis ou la famille.
Quel bonheur de se replonger dans ces souvenirs !
RépondreSupprimerJ'ai récupéré des tirages familiaux anciens mais aussi des montagnes de négatifs (certains datant des années 1930) ou de diapos.
Pour ceux-là l'affaire se complique, il faut pouvoir le tirer ou se procurer un projecteur.
Perso, j'ai trouvé une autre solution.
Un scanner qui permet de numériser des transparents.
Et le voyage peut reprendre.
J'avais retrouvé une super 8 des années 80 🥰 autant dire la préhistoire et de doux souvenirs à transférer sur un format d'aujourd'hui
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