Je vous préviens, c'est un billet de blog foutraque et sans intérêt.
Donc indispensable. (Oui les mollets vont bien, merci).
Vous vous souvenez des lettres qui moisissaient dans nos boîtes aux lettres ? Celles qui nous enjoignaient de faire suivre, d'envoyer la même missive manuscrite à 13 amis. Et si nous ne le faisions pas, le sort s'acharnerait sur nous, non seulement le cul nous pèlerait et il y pousserait des jonquilles, mais nous serions responsables, que dis-je, coupables du malheur sur terre. A l'époque le copié-collé n'existait pas. Et si l'on s'amusait, malheur !, à faire des polycopiés, notre destin s'en verrait modifié pour les 4 prochaines générations. Mais comme je n'envisageais et n'envisage toujours pas de descendance, j'assume pleinement la responsabilité d'une civilisation délétère, moi inverti de première (quand nombre de nos parlementaires vivent encore au placard (à lire dans Yagg), donc dans le mensonge et qu'on ne me dise pas que l'homosexualité relève du choix ou de la sphère privée, à ce compte-là, les ministres devraient n'afficher ni leur épouse ni leur préférence hétérosexuelle). Mais je m'égare, Edgar.
Qu'est-ce donc que je disais ?
Oui, ces lettres anonymes qu'il fallait absolument recopier une douzaine de fois, et de nos petites mains, revêtent aujourd'hui les habits du tag. Du billet de blog ne cassant pas trois pattes à un canard mais permettant de bloguer pour bloguer. Orror Vacui, me disait un ami.
Alors parce que cela m'amuse de participer à ce gloubiboulga du rien, je contourne l'obligation de publier ici un badge dont l'esthétique me laisse rêveur (oui je sais, les goûts et les couleurs blablabla et je ne m'exclue pas des vagues critiques marmonnées ici, j'ironise, je sarcasme, je ras-des-pâquerettes, j'aime-ceux-que-je-châtie, je mauvaise-foi aussi) et les consignes perplexe (singulier, patate ! ce ne sont pas les consignes qui sont perplexes...).
Laissez-moi donc remercier les gentilles blogueuses et gentils blogueurs qui ont récemment, à leur façon, fait la promotion de cet immodeste espace personnel. Au pays des Télétubbies et dans la vraie vie, je vous envoie de gros becs mouillés. [Et même à Ruth Elkrief, mais ça fera l'objet d'un prochain billet].
Hop les liens et dans un ordre aléatoire :
* http://www.alter-oueb.fr/
* http://www.vivelespestes.fr/
* http://zetteandthecity.fr/
* http://www.virginiebichet.org/
* http://mhf.ublog.com/
* http://blog.plafonddeverre.fr/
* http://www.jegoun.net/
* http://www.aubistro.com/
* http://alarach.fr/
* http://www.meteo-mulhouse.com/
* http://minijupe.hautetfort.com/
* http://lecouloirfoududefouloir.blogspot.com/
* http://elc95.blogspot.com/
* http://monblogessai.wordpress.com/
* http://tillybayardrichard.typepad.com/
* http://boutfil.hautetfort.com/
* http://lespeuplesdusoleil.hautetfort.com/
Tant que je vous tiens (z'êtes déjà partis ?), auriez-vous l'obligeance de répondre à une question que posait un internaute à Google ? L'aimable Google l'a conduit jusqu'ici. Mais je crains de n'avoir pas répondu à son cas de conscience :
« La salive est-elle un nettoyant pour vitres ? »
Bon.
RépondreSupprimerJe suis d'ac avec toi pour cette histoire du placard que ça me parait tellement moyenageux que je ne peux m'empêcher d'être toujours surprise quand on me rappelle que oui, ça se cache encore l'homosexualité.
Pour les becs mouillés, que ce soit clair, non seulement je les prends, mais en plus je te les renvoie.
Pour l'internaute baveux, je ne sais pas trop, mais je suppose que c'est ce que l'on appelle "lêche-vitrine" ?
Ah, et, c'est le BORDEL tes billets. J'adore le bordel esthétique.
Il me revient en mémoire une de ces chaînes postales dont l'auteur était un certain "Laurent Outang"
RépondreSupprimerEt j'avais mis des jours à comprendre la blague.
Moi j' ai jamais léché les carreaux mais je veux bien te lécher la poire et si t' as des lunettes ce sera mission accomplie!Ta bave atteint la blanche colombe!
RépondreSupprimertien! j'ai vu tes belles-grolles-anonymes.....
RépondreSupprimerje, que dis-je, nous te renvoyons les gros poutous, mais pas baveux, c'est dégueu de ce temps-là !
T'as rien fait comme demandé ;-) Tu as raison, soyons libres...
RépondreSupprimerJe ne sais pas pour les vitres.
Bonne soirée
J'espère que ton Papa va mieux
Bises
J' arrive ici par chez Virginie, je reviendrai par mes propres moyens.
RépondreSupprimerQuand a la salive pour les vitres, il faut pas cracher de trop loin...
Tu n'as pas vu ma participation au tag en question ? Je l'ai publié aujourd'hui, sérieux tu as raté quelque chose ! (hum).
RépondreSupprimerEt sinon euh.. non , j'ai beau lécher des vitres, ça nettoie rien, ça ferait même plus de traces après je dirais. Si ça peut aider !
en plus de refuser de te planquer dans un placard, tu ne publies même pas ton superbe award ? Purée t'es un vrai rebelle toi, j'en savoure encore plus tes becs mouillés !
RépondreSupprimeret pour les vitres,ben je sais pas je fais grève de récurage de vitres !
D'où le célèbre "j'irai cracher sur vos vitrines", sans doute...
RépondreSupprimerAh, ces lettres m'angoissaient, je les vivais vraiment comme des menaces !
Raquel : Ça se cache et même ça se punit dans de nombreux pays, et ça tue aussi (contrairement à ce que prétend l’autre enculeur de mouches public qu’est Zemmour). Merci pour les becs.
RépondreSupprimerZette : C’est drôle, c’est justement la blaque que je proposais à mes nièces. J’aurais mieux fait de me taire, tiens.
Orfeenix : Ma poire barbue risque d’irriter tes papilles.
Bout’fil : C’est dégueu et c’est bien.
MHF : Va, je n’ai pas vraiment brisé la chaîne, d’autres se sont chargés de la poursuivre. Elle continue son bonhomme de chemin de chaîne idiote. Mon papa va un peu mieux. Faible mais mieux. Merci.
madamezazaofmars : Bonjour vous ! Mais je vous connais, vous. Du moins, votre blog. Revenez quand vous voulez. Un thé, un café, une p’tite poire ? Des cahuètes ?
Joufflette : J’ai lu. Nettoie-toi la langue avant de lécher les vitres.
Béalapoizon : Bonjour ma chère et tendre ex-esclave ! Un award qu’on donne à tout le monde et n’importe qui, non merci. Moi bêcheur ? Oui.
Nekkonezumi : Je me souviens d’une fille que je n’aimais pas. Elle avait trouvé le moyen de me draguer par ce biais. Et je n’osais pas (on est con quand on est jeune) "briser la chaîne". Comme un couillon, j’ai recopié une dizaine de fois cette lettre idiote. Je me souviens du prénom de ma tortionnaire, Magalie.
Roses and Daffodils ...Roses and Daffodils ... Roses and ... !
RépondreSupprimerC'est ton titre qui me fait penser à ça !
Oui, j'ai appris à dire "jonquilles" en anglais grâce à "John and Jehn"
:)
le souffle de la rébellion abreuve les sillons baveux de la bloggo....
RépondreSupprimerque du bonheur !
Gildan : Je ne connais pas cette chanson. Vais écouter ça :) Plus élégant sans doute que les daffodils dans le.
RépondreSupprimerViolaine : Que du bonheur, huhu. J'aime cette expression dont on use et abuse pour tout et n'importe quoi. Comme quand on dit "énorme". Moi je vois tout simplement le véritable sens du mot. Un événement obèse... Euh mais pourquoi je te raconte tout ça, hein !
Comme ca marche pour les lunettes, je suis confiante, ca va marcher pour les vitres. Mais je crois qu'il va falloir enroller tout l'immeuble pour cracher dans le seau. Ou alors c'est une cabine de bateau avec un tout petit hublot. On peut quand meme alors appeler les marins mais a ses risques et perils.
RépondreSupprimerCe morceau de volant ressemble fort à un morceau de serpent. Ou le contraire ?
RépondreSupprimerTon billet me rappelle pour je ne sais quelle raison (menteur) mon premier baiser sur les lèvres (mais sans la langue)
RépondreSupprimerC'était pris de force par ma cousine dans le jardin de derrière chez mes grands parents.
C'était mouillé :o(
Bombay Magic : Cracher sur ses lunettes, c’est écolo, c’est bien, bravo !
RépondreSupprimerJoss : Monsieur a de l’imagination, c’est bien, bravo !
PascalR : Sans la langue ? Tu es sûr ? Ah les cousines, en mon temps, c’était pareil, toutes des délurées.
T'as un don pour les titres ; digne de Ionesco, moi j'dis^^
RépondreSupprimer